négociations à la Réunion
Publié le 6 Mars 2009
Le préfet de la Réunion, Pierre-Henry Maccioni, a annoncé l’ouverture
des négociations à 14h00 locales (11h00 à Paris) entre l’Etat, le Collectif contre la vie chère, le patronat et les présidents des assemblées locales.
Ces négociations porteront sur les prix, les salaires et les loyers", a dit le préfet qui souhaite qu’elles se poursuivent en fin de semaine et même la nuit si nécessaires pour tenter d’arriver au plus vite à un accord. "On fera du non-stop s’il le faut", a-t-il ajouté.
"Les négociations dureront le temps qu’il faudra mais nous resterons mobilisés", a dit Jean-Hugues Ratenon, un des porte-parole du Collectif. "Nous avons besoin du soutien de la population pour peser sur les négociations" a-t-il ajouté. Sur la question sensible de la hausse de 200 euros réclamée par le Collectif, M. Maccioni a rappelé que l’Etat apportera 100 euros et qu’il exonérera des cotisations sociales la part qui serait versée par les entreprises. "Mon but est d’introduire de la lisibilité" dans les négociations salariales, a-t-il déclaré à l’AFP
Ces négociations porteront sur les prix, les salaires et les loyers", a dit le préfet qui souhaite qu’elles se poursuivent en fin de semaine et même la nuit si nécessaires pour tenter d’arriver au plus vite à un accord. "On fera du non-stop s’il le faut", a-t-il ajouté.
"Les négociations dureront le temps qu’il faudra mais nous resterons mobilisés", a dit Jean-Hugues Ratenon, un des porte-parole du Collectif. "Nous avons besoin du soutien de la population pour peser sur les négociations" a-t-il ajouté. Sur la question sensible de la hausse de 200 euros réclamée par le Collectif, M. Maccioni a rappelé que l’Etat apportera 100 euros et qu’il exonérera des cotisations sociales la part qui serait versée par les entreprises. "Mon but est d’introduire de la lisibilité" dans les négociations salariales, a-t-il déclaré à l’AFP